Dans la ville de Martigues, une rumeur s’élève,
Un monstre s’invente que personne n’achève !
Dans chaque quartier, il prend ses couleurs,
De bric et de broc, il naît sans frayeur.
Martégaux, Martégales, chacun·e y met du sien,
Des plumes, des roues, du carton, un bout de rien.
« Il paraît qu’il danse, qu’il crie, qu’il est beau,
Un monstre d’ajourd’hui, moitié bête, moitié héros ! »
« Tu l’as vu ? Non ? Pas encore... »
Dans les rues, résonnent marteaux et chansons,
Il prend vie doucement, suivant les passions.
On colle, on sculpte, on lui invente une tête,
un être étrange, pour une fête parfaite.
Le 29 mars, sous nos yeux ébahis, il surgira,
Et la folie du carnaval commencera !
Alors, préparez les costumes et les plus beaux sourires :
Ce monstre, c’est nous, notre envie de se réunir.
Un réçit concocté par
pour la ville de
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Un monstre s’invente que personne n’achève !
Dans chaque quartier, il prend ses couleurs,
De bric et de broc, il naît sans frayeur.
Martégaux, Martégales, chacun·e y met du sien,
Des plumes, des roues, du carton, un bout de rien.
« Il paraît qu’il danse, qu’il crie, qu’il est beau,
Un monstre d’ajourd’hui, moitié bête, moitié héros ! »
« Tu l’as vu ? Non ? Pas encore... »
Dans les rues, résonnent marteaux et chansons,
Il prend vie doucement, suivant les passions.
On colle, on sculpte, on lui invente une tête,
un être étrange, pour une fête parfaite.
Le 29 mars, sous nos yeux ébahis, il surgira,
Et la folie du carnaval commencera !
Alors, préparez les costumes et les plus beaux sourires :
Ce monstre, c’est nous, notre envie de se réunir.
Un réçit concocté par


pour la ville de
